Acrostiche Scrapandco de mai

 Bonjour amis du scrap,

Le nouveau défi de mai de Scrapandco a attiré mon attention, j'aime les jeux de mots. Ici c'est un acrostiche :

Nous devons placer au moins 5 mots sur notre réa. Il se trouve que cette semaine, j'ai joué avec ma gelli plate, du bleu et du noir et ce que j'ai obtenu m'a donné envie de créer. Et voici ma carte plutôt minimaliste sans aucune allusion au printemps, il faut bien le dire :

 

 

 J'ai placé 6 mots : des ronds, la couleur indigo pour la fougère et le bout de masking tape en bas à droite, le noir avec l'esperluette, l'esperluette, les plumes et le scotch masking tape.

Contrairement à ce qu'on pourrait penser, cette carte s'est faite très vite, puisque mon fond est issu d'une série de feuilles travaillées à la gelli plate. Un instant magique qui m'a permis de créer ces impressions un brin lunaires avec des négatifs de ronds. J'ai pris ce que j'avais sur la table. En ce moment je commence un junk journal et je crée des embellissements, entre autres des boutons avec des rouleaux de papier toilette que je passe d'abord dans un classeur d'embossage. Ce sont ces négatifs là que j'ai pris pour m'amuser à la gelli plate et j'ai été vraiment épatée par les résultats, en fait l’embossage aura servi d'empreintes et je sens que je vais en passer des cartonnettes à l'embossage à froid pour obtenir autant d'empreintes que de classeurs d'embossage. Place aux images :

Ici, j'ai d'abord récupéré la couleur sur du papier livre après le premier passage du brayer :

Puis , j'ai fait des superpositions de couleur, toujours avec deux tons de bleu et un peu de vert :

Des fonds cosmiques, mais qui peuvent servir de base aussi à des cartes marines, mais surtout des cartes hivernales. J'ai trouvé que le tampon renard de la Compagnie des Elfes s'intégrerait parfaitement dans ce paysage, je ne l'ai pas colorisé, l'attrape-rêve non plus, pour ne pas casser l'ambiance froide du décor. J'ai obtenu la couleur indigo avec la Distress blueprint sketch.

A très bientôt avec des couleurs plus chaudes,

Maria